dimanche 30 mai 2010

III-a) Réseaux ou communautés de l'ère numérique

Outre les lois déjà existante, que nous avons déjà cité précédemment, de nouveaux moyens de luttes se forment. Nous allons se pencher sur les nouvelles voix virtuelles ou physiques présentent dans ce combat:


Le réseaux comme Act Up-Paris, CDSL, DAL, Droits devant, Voltaires, facebook,twitter... sont très présents et actifs sur les scènes concernant les libertés d'expression ou autres. Cependant, les détracteurs de ces réseaux pourraient leur reprocher leur manque d'action concrète.


Les organisations, comme Le Comité pour la liberté d'expression et d'association (Clea), reporters sans frontières ou la ligue algérienne des droits de l'homme (ladh) sont eux aussi présent et actifs dans ses luttes.





Cependant,

Même en ne citant qu'une infime partie de ces nouveaux militants, nous pouvons remarquer qu'une tendance s'affirme : celle du regroupement en réseau, des échanges d'idées. Le trait principal de cette évolution est sans aucun doute la perte d’influence de la forme fédérale au profit d’un modèle d’organisation en réseau. Les néo-militants s’expriment alors de préférence au travers de multiples voies, plus modestes et chacune consacrée à une cause particulière. L’engagement se négocie davantage dans la multiplicité de projets revendicatifs menés de front à un niveau collectif ou individuel. Ce qui compte avant tout pour le néo-militant, c’est de s’inscrire non plus au sein d’une organisation idéologique clairement identifiée mais plutôt de générer des projets ou de s’intégrer à des projets initiés par d’autres et d’exploiter toutes les connexions susceptibles de s’avérer à cet égard utiles.

Non pas que cette tendance soit innovante, mais plutôt qu'elle soit depuis plus d'une décennie affirmée et en constante évolution grâce à de nouvelles technologies. Évolution qui amène à de nouvelles problématiques que nous allons aborder dans la dernière partie de cette réflexion.

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