dimanche 30 mai 2010

II-a) Le pouvoir des mots



Tout d'abord, pour prendre conscience du pouvoir des mots, je vous propose une fiction :

George Orwell-1984

Militant de gauche violemment opposé à la dictature soviétique, George Orwell s'est inspiré de Staline pour en faire son 'Big Brother' et pour dépeindre la société totalitaire ultime. Dans une contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie. Ce roman nous dévoile une société plongée dans une 'hypnose sociale' où la perversion du langage prédomine : la Paix c'est la Guerre ; l'Amour, la Haine...


Orwell aborde le thème de l'importance des mots et de la liberté d'expression dans son oeuvre avec l'exemple de la Novlangue , langue simplifiée, appauvrie, afin de rendre impossible l'expression d'idées néfastes au régime. Moyen de contrôler toute manifestation de rébellion et d'asservir au maximum un peuple.






Puis l'exemple réel d'Orson Welles:


http://www.tv5.org/TV5Site/webtv/video-6349-1938_La_guerre_des_mondes_d_Orson_Welles_terrifie_les_Americains.htm


Grâce à ces exemples, nous avons pus reconnaître le pouvoir parfois ignoré des mots. Et nous pouvons en déduire l'énorme responsabilité des médias, et leur énorme pouvoir de persuasion sur leur public. Manipulations, diffamations, omissions ou censures d'intérêts sont alors possible, on parle alors de désinformation. Nous en donnons quelques exemple:



-Canal + a censuré un reportage sur le Turkménistan, impliquant le groupe Bouygues et sa filiale TF1, qui devait être diffusé dans le Vrai Journal de Karl zero.
Ce reportage faisait écho à la publication du livre "Le Pays où Bouygues est Roi" du journaliste David Garcia, paru aux éditions Danger Public le 2 mars 2006, qui révèle les agissements de Bouygues et de sa filiale TF1 dans une dictature d’Asie centrale, le Turkménistan.



-ou plus récement, l'extrème "prudence" face à la grippe h1n1 et à sa pendémie. Rellayé par les médias de masse, une histérie collective s'est mise en place en faveur des vaccinations et des règles d'hygiène, gonflant le nombre de cas atteint par la maladie. Le résultat aujourd'hui est que cette pendémie n'a pas tuée plus qu'une grippe normale, que les français, malgrès les avertissement plus que présent ont évité les centres de vaccination. Cependant, le terrible investissement prévu par Madame Bachelot a été quant à lui bien réel.



synthèse d'apres les sources: http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/manipulation-des-chiffres-de-la-61687 et www.onnouscachetout.com/synthese-vaccin

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